Puisqu’avoir un enfant est synonyme de prudence à chaque seconde, il est important d’être aux petits soins aux moindres petits bobos. À la maison comme au parc, il faut rester sur ses gardes. Mais parfois, les accidents peuvent arriver, ou dans certains cas, votre bébé peut présenter des signes de maladie infantile. Ce sont des situations très courantes et banales que vivent tous les parents. Avant de courir chez le pédiatre, il est d’abord essentiel de prendre en charge soi-même les premiers soins. Pour ce faire, retrouvez tout ce qu’une trousse de secours pour enfant doit contenir.

Pour soulager les petits maux

En cas de fièvre, premièrement, il faut avoir un thermomètre dans sa boite à pharmacie. Il faut avant tout mesurer sa température avant d’administrer un quelconque médicament. En effet, à plus de 39°C, il faut consulter un pédiatre rapidement. Aux alentours de 38°C, il est conseillé d’utiliser des antalgiques préalablement recommandés par un médecin, tels que des médicaments à base de paracétamol. Pour les maux de diarrhée, dans sa trousse de secours, il faut avoir des antidiarrhéiques et des solutions de réhydratation orale. Et pour les poussées dentaires, les gels calmants sont très efficaces. Dans tous les cas, il est essentiel de bien hydrater l’enfant pour réduire au maximum les gènes qu’il peut rencontrer.

Pour soigner les plaies

Protéger un enfant 24 heures sur 24 pour qu’il ne puisse pas se blesser est une mission impossible. Il est alors indispensable d’avoir dans sa trousse de secours des produits pharmaceutiques afin de pouvoir lui venir en aide en cas de blessure. C’est pourquoi il faut avoir des désinfectants à base d’alcool ou des dérivés iodés sous la prescription d’un pédiatre. Des sprays antiseptiques sans alcool sont également disponibles pour désinfecter une plaie peu profonde. Et enfin, il ne faut pas oublier les petits pansements conçus spécialement pour les enfants.

Pour atténuer les piqûres ou brûlures

Si l’enfant se gratte à la suite d’une piqûre par un insecte, l’utilisation de crèmes apaisantes lui sera d’un grand secours. Au bout de quelques heures si tout n’est pas rétabli, il est quand même bon de prendre rendez-vous chez le médecin. Et pour les brûlures dues au coup de soleil par exemple, il est recommandé d’employer des gels antibrûlures. Dans cette situation, il s’agit uniquement des brûlures du premier degré. Pour les autres formes de brûlures plus importantes, il est impératif d’aller aux urgences sans la moindre hésitation.

Les varicelles party, les rougeoles party et autres maladies ou virus « infantiles » party deviennent de plus en plus à la mode, surtout aux États-Unis.  Mais concrètement, que s’y passe-t-il ?

Qu’est-ce qu’une varicelle party ?

Dans une varicelle party par exemple, une famille ayant un enfant atteint de la varicelle, invite toutes ses connaissances ayant des enfants, surtout ceux qui n’ont pas encore été atteint par ledit virus, à venir chez eux, afin de mettre l’enfant infecté par le virus en contact avec les autres. Le contact peut être direct, pognée de mains, respiration du même air dans la même pièce, ou indirect : prise d’un gouté collectif, partage d’une sucette, utilisation d’un même verre par les enfants cibles, …

Pourquoi faire une varicelle party ?

Voir son enfant évoluer dans un environnement contrôlé est certainement plus sécurisant. En effet, beaucoup de parents sont actuellement anti-vaccin. Pour eux, il vaut mieux mettre son enfant directement en contact avec le microbe ou virus au lieu de « l’immuniser » par un vaccin dérivé du microbe ou virus en question. C’est pourquoi, ils mettent leurs enfants directement en contact avec un autre atteint de la varicelle. Pour les parents qui vaccinent leurs enfants, l’intérêt est plutôt dans le contrôle. En effet, les varicelles party leur offrent une occasion d’exposer leurs enfants au virus, que ce soit au travail, ou côté timing. En effet, il est par exemple mieux pour un garçon d’être atteint de la varicelle pendant son enfance qu’à l’âge adulte.

Varicelle party : oui ou non ?

Aller à une varicelle party, pourquoi pas ? Mais plusieurs choses sont à prendre en compte.

D’abord, la varicelle party est fortement déconseillée par les médecins et autres personnels de la santé, en tout cas pour ceux dont les parents sont anti-vaccinations. Pourtant, en général, les pro-varicelles party sont anti-vaccinations, alors que le risque pour l’enfant non vacciné exposé est plus que dangereux. Cela peut même s’avérer être mortel puisque les symptômes de l’infection sont décuplés chez ces enfants atteints du virus.

Mais dans le cas des enfants déjà vaccinés, c’est au contraire mieux d’être contaminé à un âge enfantin, qu’à l’âge adulte, surtout pour les garçons. En effet, c’est recommander, car avoir la varicelle à l’âge adulte peut entrainer un risque de stérilité.

Il est à remarquer que l’achat d’objet censé être infecté par les virus de la varicelle est fortement déconseillé, que ce soit sur internet ou non. En effet, comment savoir si le virus inoculé dans la sucette par exemple est réellement la varicelle, ou un autre, ou même s’il y en a ? De plus, les attaques chimiques ou bactériologiques, ou même virales peuvent être véhiculées via ce système.

Plusieurs cas peuvent emmener un enfant à être turbulent. Il se peut qu’il ne fasse que renvoyer ou refléter l’ambiance générale à la maison. Parfois, les enfants de parents angoissés, au chômage, ou en instance de divorce sont ceux qui se montrent turbulents, voire même agressifs à l’école.

En effet, actuellement, il est de bon ton de stimuler les enfants et même les bébés afin qu’ils soient aux meilleurs de  leur capacité.

Il y a aussi la turbulence par expérimentation. Ceci concerne surtout les enfants en bas âges qui essayent de découvrir leur environnement et expérimentent la dureté d’un objet, la douleur et toutes autres sensations. Enfin, si un enfant manque d’activité physique, il compensera cela par des frasques et une turbulence accrue.

Les sports à favoriser pour limiter la turbulence des enfants

En général, pallier la turbulence en faisant faire une activité physique régulière est la solution idéale. Mais il existe des sports à privilégier.

En effet, le Judo qui est un sport de contact, et un sport de combat est à privilégier car comparativement aux taekwondo, karaté et autres sports de combat, le judo est moins violent et plus éducatif. Le judo, ne portant pas de coups en soi, est plus canalisateur et n’induit pas à la violence.

Il y a aussi, le football, qui est un sport d’équipe. C’est un moyen d’apprendre à se mouvoir en équipe et de se défouler en tapant dans le ballon. En effet, grâce à ce sport, l’enfant peut apprendre beaucoup, que ce soit le fairplay ou le respect que l’on doit à ses adversaires, l’esprit d’équipe, et toutes autres notions dont il aura besoin dans la vie.

Quant au tennis, c’est un sport qui est idéal pour apprendre à se tempérer. En effet, apprendre à se concentrer sur la balle jaune et apprendre à patienter pour attendre le moment opportun pour la frapper est idéal pour canaliser les forces d’un enfant turbulent.

Les autres solutions

Outre le sport, le dialogue est l’un des moyens de calmer un enfant turbulent. Certes, cela ne marchera peut-être pas de prime abord, mais à la longue, l’expérience aidant, il acceptera le dialogue. En effet, la turbulence d’un enfant peut juste refléter son envie de mettre ses parents hors d’eux ou de faire l’intéressant. Ce qui fait que si le dialogue est toujours ouvert, il n’ait pas besoin de manifester sa colère à travers des frasques. Il y a aussi la privation d’objet stimulant comme les écrans : ordinateur, téléphone, tablette, … Les enfants d’aujourd’hui étant trop stimulés, deviennent plus habile des mains certes, mais n’ont pas le temps de s’ennuyer intellectuellement. Or l’ennuie, suivi de recherche de moyens de se distraire, aide à canaliser les trop pleins d’énergie via l’exercice intellectuel.

Faire la queue dans la salle d’attente du médecin avec son enfant n’est pas toujours une partie de plaisir pour un parent. En effet, l’impatience qui est un trait de caractère naturel chez tous les enfants prend souvent le dessus et peut donner lieu à des comportements ingérables et turbulents de l’enfant une fois confronté à une attente assez intolérable à son égard.

Attitude à adopter par le parent face à l’impatience de son enfant

Il est essentiel que vous compreniez la frustration ressentie par votre enfant lors de l’attente. Soyez tolérant car la patience n’est pas une vertu innée, elle reste une qualité assez rare même chez les adultes. S’énerver ou basculer vers une réaction extrême n’est donc pas la solution, restez zen. Préparez-le psychologiquement avant même votre départ, expliquez-lui la situation et l’attente qui va suivre une fois chez le médecin. Expliquez lui calmement sur les comportements qu’il doit adopter une fois sur place et le cas échéant, n’oubliez pas de lui faire un rappel à l’ordre d’un ton ferme mais calme. Plus important, armez-vous de plusieurs activités afin de l’aider davantage à être serein dans la salle d’attente.

Quelques idées pour occuper son enfant dans la salle d’attente du médecin

Préparer des activités en fonction des centres d’intérêt de son enfant est un moyen très efficace afin d’occuper son enfant dans la salle d’attente. Si votre enfant aime dessiner ou colorer, apportez-y des pages entières de dessin et de coloriage, des feutres et des crayons de couleurs. Si par contre, votre enfant est plutôt écran que feuille de papier, une tablette dans laquelle sont installés ses jeux préférés fera l’affaire. Si vous êtes de ces parents qui préfèrent restreindre l’écran à leurs enfants, faire une exception lors de l’attente chez le médecin transformera ce moment d’attente en un moment privilégié à ses yeux. Enfin, pour changer et lui éviter de s’ennuyer et de se lasser trop vite, vous pouvez vous-même organiser des petits jeux entre vous, dans lequel vous participerez aussi.

Apprendre la patience à son enfant : une solution à long terme

Rien de mieux qu’initier son enfant à la patience dès son très jeune âge. Pour ce faire, le dialogue est le premier pas à faire. Expliquez à votre enfant la raison pour laquelle savoir attendre est si important. Dans la pratique quotidienne, faites la différence entre besoins physiologiques de l’enfant et ses désirs. Les besoins physiologiques doivent être comblés dans l’immédiat, tandis que pour ses désirs, vous pouvez lui faire attendre et récompenser cette patience afin de l’habituer à la patience.

La plupart des bébés, pour ne pas dire tous, font des régurgitations. Dans le cas où ces rejets montent en fréquence et en intensité, ils deviennent alors des reflux gastro-œsophagien ou RGO. Mais de quoi s’agit-il ? Que peut-on faire si ce cas se produit ? Existe-t-il des astuces à appliquer pour les éviter ?

Différence entre régurgitation et RGO

Il est tout à fait normal qu’un bébé régurgite son lait, et cela, en général, après une tétée ou bien le biberon quand le contenu de son estomac remonte vers son œsophage. Ce phénomène n’est pas à craindre car chez le nourrisson, la jonction ou l’anneau reliant l’estomac et l’œsophage n’est pas encore parfaitement formé. Les aliments s’échappent alors facilement. Ces régurgitations ne sont pas douloureuses pour le nourrisson et ne freinent pas sa prise de poids. En général, ce phénomène va peu à peu disparaître vers ses 2 ou 3 mois lorsque son système digestif prend sa place normale. Par contre, s’il s’agit d’un reflux gastro-œsophagien, celui-ci peut être douloureux et acide et peut même empêcher le développement normal du nourrisson. Un RGO se reconnaît par de fortes régurgitations très douloureuses entraînant des problèmes de sommeil et/ou des coliques.

Les mesures à prendre

En cas de RGO, le médecin traitant du nourrisson va établir le traitement à suivre suivant l’ampleur du RGO. Par exemple, s’il s’agit d’un enfant qui présente une autonomie, qui marche et qui a de la tonicité musculaire, la majorité des reflux peuvent déjà être guéris. Le médecin va alors simplement lui prescrire un traitement se basant en général sur une alimentation plus adaptée ainsi que sur l’emploi des pansements digestifs. Si votre bébé est nourri au biberon, le médecin peut lui prescrire un lait anti-reflux qui sera épaissi à la caroube ou à l’amidon.

Quelques astuces à appliquer

Pour éviter les RGO à votre enfant vous pouvez appliquer quelques astuces simples comme surélever la tête de son petit lit de 10 à 15° pour éviter ainsi les remontées gastriques. Vous pouvez aussi modifier sa position en le couchant sur le dos pour ne pas faire de pression inutile sur l’estomac. Faites des petites pauses pendant ses repas pour l’aider à évacuer l’air qu’il a peut-être avalé. Il vous est également conseillé de le mettre en position verticale pendant le repas sans oublier de le laisser faire son rot dès que son repas est fini et pendant les pauses.

Télévision, ordinateur, tablette, téléphone et jeux font partie de notre quotidien. Certes ils sont divertissants. Ils nous permettent de nous évader à un certain moment et peuvent être très pratiques dans certaines circonstances.

Soyez avec votre enfant

Un enfant ne devrait jamais être seul devant un écran. Il doit toujours être accompagné par un adulte pour pouvoir choisir des programmes bénéfiques. Sachez qu’en étant avec votre enfant, vous aurez la chance de lui expliquer les choses que vous regardez ensemble. De cette façon vous stimulerez peu à peu la concentration de votre enfant en lui apprenant des choses qui lui seront utiles à l’avenir. Vous pouvez aussi faire réaliser à votre petit qu’un écran peut être un outil d’échange et de jeu en famille. Ainsi, vous pouvez choisir ce qui est le mieux adapté pour votre enfant tout en passant du temps avec lui.

Pensez au développement personnel de votre enfant

Osez aussi planifier les moments que votre enfant passe devant un écran. N’oubliez pas qu’il est important de jouer à l’extérieur. En jouant, l’enfant apprendra à utiliser ses mains pour fabriquer des choses, il aura la chance d’utiliser ses sens pour mieux découvrir le monde dans lequel il vit. Il est aussi essentiel pour son développement de partager des moments avec autrui et d’interagir avec d’autres enfants. Pour n’en tirer que les bénéfices de l’écran, tachez d’accompagner votre enfant afin de mieux choisir ce qui est adapté pour son âge.

N’oublions pas que trop de temps devant un écran peut influencer les études de votre enfant. Notons aussi que des problèmes de comportements peuvent apparaître si vous n’êtes pas aux côtés de votre petit au moment où il est face à l’écran.

Privilégiez la santé de votre enfant

Sachez que les écrans peuvent perturber le sommeil de votre enfant et lui causer des problèmes oculaires. Il n’est donc pas conseillé de regarder un écran avant de dormir car la lumière qu’il émet pourrait faire croire au cerveau qu’il fait jour.

De plus, plus un enfant est devant un écran plus le temps qu’il passe dehors diminue et plus ses activités physiques sont minimes. Ces faits sont ceux qui augmentent les risques de surpoids et d’obésité et peuvent attaquer les habilités motrices de l’enfant. En effet, être à l’extérieur permettrait à un enfant d’acquérir plus de savoir et de se développer comme il se doit.

En trouvant l’équilibre, vous donnerez à votre enfant la possibilité de grandir sainement.

Le rhume de hanche est une maladie de plus en plus fréquente chez les hommes. Elle se manifeste le plus à l’âge de l’adolescence. Souvent, un individu qui est atteint de cette maladie ressent une douleur insupportable, ce qui est semblable à une douleur musculaire. Mais comment peut-on reconnaitre  qu’il s’agit vraiment d’un rhume de hanche ? Quels sont les signes ? Et quel est le traitement  adapté ? Effectivement, comme d’autres maladies, celle-ci peut aussi se soigner de diverses manières. Mais selon divers médecins, il est surtout, essentiel de changer ses habitudes alimentaires et sportives.

Le rhume de hanche : qu’est-ce que c’est ?

Certaines personnes connaissent cette maladie comme la synovite aiguë transitoire. Ici, la douleur se manifeste le plus sur la hanche. D’après les études de certains médecins, il s’agit d’une inflammation qui se situe  sur la membrane se trouvant à l’intérieur de l’articulation sur les hanches. En général, elle se manifeste le plus chez un garçon entre 5 ans et 15 ans. Mais cela n’empêche qu’à l’âge adulte, un homme peut aussi en être victime. Lorsque la maladie s’aggrave, elle commence à toucher le genou.  Quoi qu’il en soit, dès la première manifestation, il est préférable de faire appel à un médecin sportif.

Connaitre les causes et les symptômes de la maladie

Si le rhume de la hanche touche particulièrement les hommes et les petits garçons, c’est pour une raison. La principale cause de cette maladie, c’est la présence d’une gastro-entérite. Parfois, elle peut être causée par du micro-traumatisme. Si un enfant ou un adulte attrape un rhume de hanche, il est simple de le remarquer. Il commence tout de suite à avoir du mal à marcher. Il peut même boiter. La douleur arrive au genou et dans les jambes. Sur ce cas, l’intervention d’un médecin est toujours indispensable.

Comment soigner la maladie ?

Chaque spécialiste a sa manière de guérir un rhume de hanche. Mais il est toujours important pour l’individu touché par la maladie de faire un repos de quelques jours. Certains spécialistes peuvent conseiller l’enfant ou l’adolescent de ne plus marcher pendant quelque temps. Dans le cas où la douleur est insupportable ou si elle persiste malgré le repos, il est nécessaire de réaliser une mise en traction. Il faut également accompagner le traitement par des médicaments anti-inflammatoires. Une fois que la douleur disparaît, faire du sport devient essentiel, et cela, quel que soit l’âge de l’individu. Notons que c’est une maladie qui n’est ni héréditaire, ni contagieuse.

Pour choisir le médecin traitant de nos enfants, nous nous hésitons souvent entre un généraliste ou un pédiatre. Il n’est pas évident de généraliser, mais vous pouvez vous renseigner auprès de vos entourages concernant un médecin ou de rencontrer directement les médecins près de votre habitation afin de faire votre choix en fonction de vos préférences et de vos besoins.

Avantages de choisir un pédiatre

Vu que les pédiatres sont des médecins spécialistes, ils ont fait des études plus approfondies sur les pathologies des enfants et ont plus d’expériences sur le diagnostic et le traitement des maladies des enfants. Ils ont plus de connaissances sur les médicaments qui sont réservés pour les enfants. D’une manière légale, le pédiatre est le mieux placé pour les visites obligatoires des 1er, 6ème et 9ème mois. De plus, les pédiatres sont spécialisés dans le suivi personnalisé des bébés atteints de troubles spécifiques comme le cas des prématurés.

Choisir un généraliste : une autre alternative intéressante

Les médecins généralistes sont également aptes à consulter les enfants. En général, les généralistes ont plus de disponibilités et les attentes sont moins longues chez eux. Il est ainsi plus pratique de se faire consulter son bébé par un généraliste lors des maladies urgentes telles que les rhumes et les gastro-entérites. Ils connaissent mieux votre famille et l’environnement dans lequel vivent vos enfants s’il est le médecin traitant de la famille. Un généraliste peut se déplacer à domicile pour une consultation. Il peut vous orienter vers d’autres professionnels de santé en cas de besoin tel que des chirurgiens, des radiologues, ou des infirmières.

Choisir un pédiatre ou un généraliste selon vos préférences

Choisir un pédiatre ou un généraliste pour le suivi de son enfant est un choix assez personnel, le choix se fait facilement dès que vous sentez que vous pouvez faire confiance à votre praticien. Que vous choisissiez un pédiatre ou un généraliste, il y aura toujours des inconvénients et des avantages. Vous êtes conseillé de voir les deux et faire votre choix de médecin traitant en fonction de vos attentes après avoir vous renseignez sur l’accueil, les horaires, les services, les consultations, et les résultats des traitements. Vous pouvez également vous référer aux avis des autres parents ou des assistantes maternelles pour trouver le médecin traitant de vos enfants. Inscrivez-vous sur Geomed en cliquant sur ce lien pour prendre un rendez-vous médical avec un spécialiste de la santé généraliste ou pédiatre.

La fièvre est une des maladies infantiles les plus fréquentes. Leur système immunitaire qui se familiarise encore avec le monde extérieur a besoin de temps pour combattre infections, virus et bactéries. Pour prévenir les petites fièvres chez bébé et lui administrer son médicament à temps, autant vous équiper d’un thermomètre. Suivez ce petit guide pour savoir quel modèle de thermomètre pour enfant choisir.

Santé enfant : quel thermomètre pour quel âge ?

Le thermomètre est un kit de puériculture qui doit être acheté bien avant que bébé ne soit là. S’il reste quelques semaines avant votre accouchement et que vous préparez toujours le trousseau de bébé en attendant le grand jour, ne faites pas l’impasse sur le thermomètre. Ce petit objet est devenu un grand indispensable dans la vie de bébé, comme celui-ci pourrait être amené à avoir une toux, un rhume, ou à prendre froid à n’importe quel moment de sa vie, et ce, dès ses premiers jours.

Attention, car un thermomètre pour enfant ne se choisit pas à la légère. Outre son aspect et ses fonctions, il faut avant tout le sélectionner en fonction de l’âge de votre enfant :

– bébé a moins de 2 mois : il a encore la peau et les muqueuses trop fragiles c’est pourquoi il est plus sage de choisir un thermomètre pour enfant axillaire.

– bébé a plus de 2 mois : comme ses muqueuses sont moins délicates, on peut envisager d’utiliser un thermomètre pour enfant rectal électronique, ou d’autres modèles qui vous seront proposés par votre pharmacien.

Thermomètre pour enfant : choisir en fonction des utilisations

Outre la question d’âge, les thermomètres pour enfant diffèrent également en fonction de leur voie d’utilisation. On distingue le thermomètre :

– par voie rectale que l’on introduit dans le rectum, après l’avoir désinfecté

– par voie buccale que l’on installe délicatement sous la langue en veillant à bien refermer la bouche

– axillaire qui est le modèle traditionnel, placé sous l’aisselle pour afficher la température au bout de 4 minutes

– auriculaire, équipé d’un embout que l’on insère délicatement dans l’oreille pour prendre la température

– Infrarouge ou frontal, moderne, pratique, facile à utiliser et fiable. Il s’utilise la plupart du temps dans les lieux publics : écoles, centre de soins et de santé, crèche, etc.)

Thermomètre pour enfant : modèle classique ou électronique ?

Entre thermomètre pour enfant électronique et classique, le choix dépend surtout d’une question de praticité et de facilité. Beaucoup de parents préfèrent utiliser les modèles traditionnels sans mercure, qui sont aussi fiables et faciles à désinfecter. D’autres parents préfèrent la praticité des thermomètres électroniques exacts, faciles à lire et moins fragiles que les modèles classiques. Vous pouvez aussi opter pour les variantes à infrarouge ((thermomètre auriculaire) ou frontales, rapides et n’entraînant aucune gêne d’utilisation.

Le carnet de santé contient intégralement les informations médicales de son propriétaire, dès sa naissance, jusqu’à ses 16 printemps, et est utilisé à titre informatif. Pour cette raison, le carnet de santé est un document autant important que le passeport ainsi que la carte d’identité. Cet article, pour vous aider à comprendre l’envergure et l’utilité du carnet de santé de votre bout de choux dans la société, dès ses premiers jours de vie jusqu’à son adolescence.

Le carnet de santé et les traitements médicaux de votre enfant

Rapidement après l’accouchement, bébé possède un carnet de santé qui lui servira de référence jusqu’à un certain âge. Le carnet de santé est la plupart du temps utilisé dans le cadre médical, de sorte à y noter les renseignements concernant la vie de bébé. Les premières pages contiennent habituellement les renseignements qui se rapportent à l’accouchement et aux caractéristiques de bébé. De la taille aux poids, en passant par les vaccins, les capacités mentales et cognitives sans oublier les éventuelles allergies, tout doit y être inscrit. De cette manière, lors d’une intervention, d’une consultation, voire même d’une hospitalisation, le médecin traitant de votre enfant pourra effectuer des évaluations et interventions nécessaires.

Le carnet de santé et la scolarité de votre enfant

Ça y est, vous avez finalement décidé de franchir le cap et d’inscrire votre petit bout dans une crèche, une garderie ou une école. La scolarité est une nouvelle phase incontournable de la vie des enfants, par laquelle votre loulou doit également être obligé de passer pour entrer dans la société. Comme votre petit ne jouera plus seul dans son propre espace et qu’il devra désormais partager la vie de plusieurs autres enfants, le carnet de santé est souvent réclamé pour répondre à des soucis administratifs. Mais il n’est pas seulement question de paperasses administratives, car en réalité, le carnet de santé contient des renseignements utiles aux responsables scolaires.

L’enfant a-t-il terminé ses vaccins et possède-t-il un certificat de vaccin ? Votre petit a-t-il une maladie particulière ? Supporte-t-il n’importe quels aliments et médicaments ? Habite-t-il avec ses parents ? A-t-il un handicap physique ou mental ? Sa courbe de croissance démontre-t-elle un développement physique régulier ? Une fois ces informations récoltées, il devient plus facile pour les responsables de recevoir l’enfant au sein de leur établissement.

Le carnet de santé et les voyages de votre enfant

Si vous prévoyez un voyage à l’étranger avec vos enfants, faites particulièrement attention à ne pas égarer son carnet de santé. Pièce justificative et fiche de renseignements par excellence, le carnet de santé est depuis toujours indispensable lors d’un voyage dans les périphéries ou à l’étranger. Grâce au carnet de santé, le personnel du vol détient les informations concernant votre enfant et saura prendre des mesures de sécurité dans n’importe quelle circonstance : maladie, autres vaccins nécessaires liés à l’accouchement

Plan du site